Version Ralentie
L’accent, c’est une manière de parler qui dit d’où l’on vient. Pour certains, c’est une fierté ; pour d’autres, un signe de reconnaissance à effacer. Il n’est pas toujours facile, quand on vient du Nord, de bien comprendre un Français du Sud. Surtout qu’un accent, c’est souvent lié à une langue régionale, à une culture, à une histoire. Un véritable voyage !
An accent is a way of speaking which says where you come from. For some it’s a matter of pride; for others it’s an identification mark that needs to be erased. It’s not always easy when you come from the North to understand easily a French person from the South. Above all it’s often linked to a regional language, a culture, a story. A true voyage!
-Il y a un journaliste qui a dit un jour : « Le patois charentais a ceci de magnifique que, même si on ne comprend pas tout, on rit quand même aux histoires. »
-There was a journalist who said once : “Charentais patois has this that’s magnificent about it: even if you don’t understand everything, you still laugh at the stories.”
Sur une scène, les acteurs jouent devant un public hilare des saynètes1 en patois charentais. Bienvenue chez les mangeurs d’escargots et d’huîtres, buveurs de Cognac et de Pineau2! Bienvenue en Charente où on utilise des mots qui font ouvrir de grands yeux aux Français du Nord.
On a stage, actors play light comedies – des saynètes in Charentais patois – before a hysterical public. Welcome to the snail and oyster eaters, the Cognac and Pineau drinkers! Welcome to Charente, where they use words that leave French people from the North wide-eyed.
–La cagouille3, c’est l’escargot. Le drôle, c’est le gamin, quoi, c’est l’enfant. La drôlesse, c’est le féminin et puis on a les mojhètes ; on dit pas des haricots blancs, nous, on dit des mojhètes. Et la poche, c’est le sac en plastique.
-“La cagouille”, that’s a snail. “Le drôle”, that’s, like, the kid, the child. “La drôlesse”, that’s feminine and then there’s “mojhètes”; we don’t say butter beans, we say “mojhètes”. And “la poche”, that’s a plastic bag.
-Il y a aussi le cochon, on dit ‘le goret’, hein ! Généralement, on dit un goret, on dit pas un cochon. Moi, je travaille donc pour la Chambre de Commerce et d’Industrie. Il m’est arrivé d’être à des réunions et de glisser de temps en temps des mots, par inadvertance hein, et là, tout le monde vous regarde avec des grands yeux. Par exemple, quand on dit : « Bon, ben, on se revoit ce tantôt ! », les gens vous regardent : « Ce tantôt ? » Ben, pour nous, le tantôt c’est l’après-midi et là, ils comprennent pas. Donc là, je dis : « Excusez-moi, cet après-midi ». Ça, c’est clair. Hein, je suis allé à Paris récemment à une réunion, j’ai dit : « Bon, ben allez, on va manger et puis on se revoit ce tantôt ! » ; ils m’ont tous regardé avec des grands yeux. Personne ne comprenait « ce tantôt » voilà. Ça, c’est typiquement charentais aussi.
-There’s also the pig, we say “le goret”, huh! Generally we say “un goret”, we don’t say a pig. I work for the Chamber of Commerce and Industry. It’s happened to me to go to meetings and slip in words inadvertently, everyone looks at you wide-eyed. For example when you say : “Well OK, we’ll see each other “ce tantôt”!”, people look at you : “Ce tantôt?”. Well for us, “le tantôt” is the afternoon and that they don’t understand. So then I say, “Excuse me, this afternoon”. That, that’s clear. Eh, I went to Paris recently to a meeting, I said : “Well, OK let’s go, we’ll have something to eat and then we’ll see each other “ce tantôt”!” They all looked at me with wide eyes. Nobody understood “ce tantôt”, you see. That’s typically Charentais as well.
-Alors moi, sur scène, on m’appelle Nono Saute Palisse4 mais autrement, en français, c’est Bruno, et du patois, moi, j’ai surtout vécu une époque où on comprenait le patois mais on ne le parlait pas. Et c’est après, en faisant du théâtre, que c’est devenu vraiment une histoire d’amour, quoi ! Donc le patois, c’est journalier maintenant et maintenant je suis même obligé de me forcer pour parler français ! Patois ? Alors ça, c’est une longue histoire, ça. Quand j’ai arrêté le sport, ma femme faisait du théâtre -en français, elle-, et il y avait une partie du théâtre qui jouait en patois et quand je les entendais, je rigolais. Ma femme a dit : « Qu’est-ce que tu comprends ? ». Ben, je dis : « Je comprends tout, ça me ramène des années en arrière avec mes grands-pères, mon père, et… « Et puis je me suis mis au théâtre et j’ai fait du théâtre en patois. Et puis après j’ai fait un peu le barde avec quelques chansons de Goulebenèze5. Alors quand on dit ‘bardes’, c’est les conteurs, hein ! Puis après je me suis mis à écrire, mes propres textes, mes propres pièces de théâtre, parce que ce soir on joue une pièce de théâtre que j’ai écrite. Ça vient comme ça. Puis après, on tombe dedans et on fait comme Obélix6 : on ne peut plus s’en sortir. Oui, on parle français et on comprend partout, mais je pense quand même qu’il faut qu’on garde notre culture, et comme je dis, bon, ben, nous, nous aux « Branles Mijhots », on a deux apprentis, avec Juju puis Vanou et puis, dans la troupe de théâtre où je suis, ben, j’ai une apprentie, là, qui commence à faire du théâtre en patois et puis j’en ai une autre qui a 18 ans, je crois, et qui fait aussi du patois.
-Well on stage I’m called Nono Jump The Hedge but otherwise in French it’s Bruno and the patois, I’ve lived more than anything in an age where people understand patois but they don’t speak it. And it’s afterwards, by performing theatre, that it’s become a real love affair! So patois, it’s every day now and now I even have to force myself to speak French! Patois? well that’s a long story that is. When I stopped playing sport, my wife performed theatre – in French, her – and there was a part of the play that was played in patois and when I heard it I was laughing. My wife said: “What do you understand?” well I said: “I understand everything, that takes me years back with my grand-parents, my father… ” And then I started performing theatre and I performed theatre in patois. And then after that I have been a little bit the bard with the songs of Goulebenèze. So when we says “bardes” we mean storytellers! Then after that I started to write my own scripts, my own plays, because this evening we are performing a play that I wrote. It happens just like that and then afterwards you fall into it, just like Obélix: you can’t get away from it. Yes you talk French and you are understood everywhere, but I think nevertheless that we have to preserve our culture and as I say, well, we in the “Branles Mijhots”, we’ve got two apprentices – with Juju and then Vanou – and then, in the theatre troop where I am, I have an apprentice there who is beginning to perform theatre in patois and then I’ve another whose 18 years old I think and who’s also doing patois.
Comme dans beaucoup d’autres régions de France, le patois n’est plus beaucoup parlé ; l’accent local se perd, mais pas les bonnes habitudes de la table.
As in lots of other regions of France, patois isn’t spoken a lot : the accent is getting lost, but not the good table manners.
-Il y a une chanson là-dessus, sur euh… je vous la chanterai pas parce que je sais pas chanter. Vous avez pas entendu parler de Claude Barbotin, qui chante ‘la sauce aux lumas’? Eh ben, c’est… il rappelle la bonne cuisine, la belle mangeaille. Les lumas, c’est les escargots qu’on appelle ‘la cagouille’ comme ils disaient… parlaient tout à l’heure. Et il y a une chanson là-dessus, sur la sauce aux lumas sur l’air de « Quand on s’aime bien tous les deux », vous savez ? Quand tu me fais de la sauce aux lumas. Il y a les lumas, la goreillerie aussi, vous connaissez pas la cuisine de cochon qu’on appelle le goret ? Il y a du civet, des boudins, des saucisses, euh, tout ça. Vous allez dans d’autres pays, vous demandez la cagouille, l’escargot, ils connaissent pas ! On appelle ça le P’tit Gris en Charente, c’est le petit escargot. Vous avez l’escargot de Bourgogne, vous savez, qui est assez gros, et chez nous c’est le P’tit Gris, on appelle ça ‘la cagouille’. C’est l’emblème de la Charente-Maritime, de la Charente. L’escargot, on le mange… vous mettez un petit peu de sel et de poivre dedans, vous les faites griller, vous mangez ça avec du beurre et c’est très bon sur le barbecue ou au four. Alors, vous ramassez des escargots quand il pleut, l’été, parce qu’à cette saison, là, vous les trouvez pas. Ils sont planqués dans les palisses, mais l’été, à partir du mois de juillet, on n’a pas le droit de les ramasser avant normalement, il y a une taille. Et vous ramassez ça, vous les faites jeûner pendant 15 jours, trois semaines, et puis après vous les nettoyez, vous enlevez la peau, vous les lavez bien sûr, et vous les cuisinez. Voilà. Et c’est très bon !
-There’s a song about it, about… I won’t sing it because I don’t know how to sing. Have you hear of Claude Barbotin who sings “snail sauce”? Well, it’s… it reminds us of good cooking, good eating. “Les lumas” they’re snails that we also call “la cagouille” as they were saying earlier. And there’s a song about, about “snail sauce” to the tune of “When you love one another”, you know that? There are “les lumas”, there’s the “goreillerie” as well, you don’t know the cooking of a pig which we call “le goret”? There’s stew, black pudding, sausages, all that. You go to another region and you ask for “la cagouille”, snails, they’ve never heard of it! We call that “le P’tit Gris” in Charente, that’s the little snail. You’ve got the “escargot de Bourgogne”, you know, which is fairly big and then where we come from it’s “le P’tit Gris” that’s called “la cagouille”. It’s the symbol of Charente Maritime, Charente. The escargot you eat, you put a little bit of salt and pepper on it, you grill it, you eat it with butter and it’s very good on a barbecue or in an oven. So you gather snails when it rains, in summer, because that’s the season, at the moment you won’t find them. They’re nestled in hedges, but during the summer, from July onwards… you don’t normally have the right to gather them before, it’s a question of size. And you gather them up, you make them fast for a fortnight, three weeks and then afterwards you clean them, you take off the skin, you clean them of course and you cook them. There you have it and it’s very good!
Mais quittons la table pour revenir à l’accent charentais, qui a traversé l’Atlantique, au XVIIe siècle avec ses mots à lui.
But let’s leave the table to go back to the Charentais accent, which crossed the Atlantic in the 17th century, taking its vocabulary with it.
-Si on veut parler aussi des Québécois, ils ont un autre accent qui est beaucoup plus fort, beaucoup plus guttural, mais ils disent des mots comme nous. Par exemple, le mot ‘bessounes’, ils vont le dire. C’est pour les enfants jumeaux. Jumelles, jumeaux : des bessounes et des bessons. Et ça, ils l’employaient en Acadie et tout ça. Il faut voir que les Québécois – ou ces gens-là – viennent de toutes les régions de France, aussi, particulièrement de l’ouest. Ils sont très très friands de tout ce qui se passe chez nous. Ils reviennent dans “leur province”, comme ils disent dans la… Nous, on retrouve, bon, leur amour de la Charente, s’ils sont charentais, si les parents… Nous, on a rencontré des gens qui venaient de Jarnac, ils sont revenus à Jarnac pour voir, ça, c’est sûr.
-If you want to talk about the Québécois, they have another accent which is much stronger, much more guttural, but they say their words like us. For example the word “bessounes”, they’ll say. It’s for children who are twins. Girl twins, boy twins ; “bessounes” and “bessons”. And they use that in Acadia and all that. You see the Quebecois – or the people there – they come from all regions of France as well, particularly the West. They are very fond of everything that goes on here. They come back to “their Province” as they say in… We sense their love of Charente, if their relatives are Charentais… We met some people coming from Jarnac, they’d come back to Jarnac to see it, that is certain.
Une façon d’exprimer l’opposition
I) ‘Quand même’
Reprenons la phrase suivante tirée du reportage :
-Oui, on parle français et on comprend partout, mais je pense quand même qu’il faut qu’on garde notre culture.
‘Quand même’ est un adverbe qui a un sens adversatif, c’est-à-dire un sens d’opposition, de résistance. Nous avons une autre locution adverbiale de même sens, contenant ‘même’ qui est ‘tout de même’. On aurait pu dire :
-Je pense tout de même qu’il faut qu’on garde notre culture.
Ce sens adversatif comporte des degrés
A )L’opposition déclarée:
-La loi interdit de téléphoner au volant mais certains le font quand même.
ou
-Il a un cancer du poumon mais il fume quand même.
B) Au sens de ‘néanmoins’, ‘pourtant’, une forme de ‘dissidence’ atténuée par rapport à la norme.
La marque d’une concession.
-Mon train ne part qu’à 5 heures mais je préfère quand même arriver à la gare à 4 heures par mesure de sécurité.
ou
-Il ne fait pas vraiment très froid mais c’est quand même plus agréable d’allumer un feu de cheminée en rentrant de promenade en automne le soir.
C) Une marque d’impatience pour souligner la réalisation d’un fait qui a tardé à se réaliser.
Vous attendez à votre table depuis un bon moment. Soudain, enfin, un serveur s’approche de vous pour prendre votre commande. Vous murmurez en soupirant:
-Ah! Quand même! C’est pas trop tôt…
ou
Vous rendez service à une collègue ingrate qui ne vous remercie pas. Au bout d’une semaine vous recevez un courrier de sa part.
Elle a quand même fini par vous adresser un mot gentil. Mieux vaut tard que jamais!
Dans tous ces cas, ‘tout de même’ remplace ‘quand même’.
II) Quand même / quand bien même suivi du conditionnel
Pour introduire une proposition concessive. C’est un langage assez formel.
-Ils ne vendront (ou, ils ne vendraient -au présent conditionnel) jamais leur maison, quand même on leur en proposerait des millions.
-Quand bien même je travaillerais nuit et jour, je n’aurais (ou, je n’aurai -au futur indicatif) pas le temps de remplir ce contrat.
Quand même / quand bien même (+ le conditionnel) sont interchangeables.
- Écoutez - Vitesse normale
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Une fromagerie artisanale
- O comme… les bobos
- N comme... Nana
- M comme… Mbappé pardi !
- L comme… quelle heure est-il?
- La Demeure du Chaos… miroir de notre monde
- Pour te ressembler - Christine Détrez
- K comme… une kyrielle
- J comme… Jean-Jacques
- I comme… pas un iota
- H comme dans… le chéri ou le chouchou
- Amélie Nothomb et les librairies indépendantes
- G comme… gare à toi !
- Wood
- F comme dans… sauf
- E comme… à refaire!
- D comme… les suffixes en -ard
- C comme… la coccinelle
- B comme… le b.a.-ba
- A comme… Nous autres à Vauquois
- Z comme… la zizanie
- Y comme… y’a qu’à
- La lettre X comme… une connexion ou une déconnexion
- W comme dans… la Wallonie
- V comme… Malbrough s’en va‑t‑en guerre
- U comme dans… avoir
- T comme… ta Katie t’a quitté
- Je suis malheureux sans ma montre
- S comme dans… Les chemises de l’archiduchesse sont-elles sèches, archi sèches?
- R comme dans… Tartarin de Tarascon
- Q comme… Que dalle!
- P comme...
- O comme… trop, c’est trop!
- La Lettre N Comme Napoléon
- M comme dans… le rhum
- L comme… la libération
- K comme… blackbouler
- J comme...
- Dictée
- La lettre i… comme dans les verbes étudier, crier, skier
- H comme… dehors
- G comme… un garçon
- F comme… un fleuve
- E comme... l'eau
- D comme… un dessert, peut-être?
- La Lettre C
- B comme… le bouche-à-oreille
- La méthode Coué
- A comme l’arobase
- Z comme… les zazous!
- La lettre Y
- La lettre X
- Les combats de coqs
- La lumière d’Auvers-sur-Oise
- W comme…Waouh!
- V comme… le vélo
- U comme utile
- Non, moi, je ne m’y résous pas !
- T comme… Tiens, voilà du boudin!
- S comme…. Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes?
- R comme… rarissime
- Q comme… un quidam
- P comme… La Périchole
- O comme où
- Sa mémoire vivra. Son exemple demeurera.
- Le ni-ni
- La lettre M
- La lettre L
- La lettre K
- J comme… jusqu’au-boutisme
- I comme… Il était une fois…
- H comme… la lettre h elle-même
- 37. L’esprit du subjonctif
- G comme… la grenouille, pardi!
- La soupe à la grimace
- F comme… frou frou
- La Lettre de mai : E comme… évidemment
- La lettre D… comme le départ
- La lettre C comme… crocodile, pardi!
- B comme la bêtise
- A l’avenir de nos retrouvailles!
- Dictée
- Dictée
- Lecture
- Dictée
- Lecture
- Dictée
- Dictée
- Lecture
- Lecture
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Lecture
- Dictée
- Lecture
- Dictée
- Lecture
- Dictée
- Lecture
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Lecture
- Lecture
- Dictée
- Dictée
- Lecture
- Dictée
- Lecture
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Dictée
- Écoutez
- 35. Elle a tant d’amoureux qu’elle ne sait lequel prendre
- 34. Et puis voilà, quoi. Mais bon, c’est vrai que c’est pas grave, hein?
- 33. On ne peut pas confondre un pain artisanal et un pain industriel
- Ecoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Écoutez
- Accents de France : La Corse
- Accents de France : Paris
- Écoutez - Vitesse normale
- Accents de France : Les Landes
- Accents de France : les Antilles
- Accents de France : La Bretagne
- Accents de France : La Provence
- Accents de France : L’Alsace
- Écoutez - Vitesse normale
- Écoutez - Vitesse normale
- Les passionnés de boules
- Le musée des Commerces d’autrefois
- On se régale au ski
- Pourquoi la Poste évolue
- Se lancer dans une nouvelle vie
- Les bouquinistes
- Pour lutter contre la solitude des personnes âgées
- Touche pas à mon département !
- Nos huîtres sont menacées
- Guignol fête ses 200 ans
- Écoutez - Vitesse normale
- Écoutez - Vitesse normale
- Lire : Nathalie Sarraute
- Écoutez - Vitesse normale
- L’Olympique Lyonnais survole la ligue 1
- Mai 68 : dans les usines aussi !
- Écoutez - Vitesse normale
- Lire: J.M.G Le Clézio
- Le jeu des mille euros fête ses 50 ans!
- Lire : Daniel Pennac
- Pédaler pour se déplacer : le vélo séduit en ville
- Lire : Albert Camus – Caligula
- Écoutez - Vitesse normale
- Lire: Marcel Aymé – La Vouivre
- Loup, y es-tu ?
- Cousteau, écologiste avant l’heure
- Lire : Ionesco
- Les marchés de Noël
- Accueil, villes françaises
- Jour de grève
- Écoutez - Vitesse normale
- Lire : Romain Gary
- La Coupe du monde du rugby
- Écoutez - Vitesse normale
- La rentrée!
- La poésie française d’aujourd’hui
- Lire: Marguerite Duras
- Lire : Baudelaire
- Au salon immobilier
- Les fils de Georges
- Marie NDiaye
- Lire Balzac
- La souplesse et le mordant du lion – la magnifique histoire de la marque Peugeot
- Patrick Modiano
- Au secours des sans-abri
- Vauban : bâtisseur du Roi Soleil
- L’énergie renouvelable
- Écoutez - Vitesse normale
- Les Compagnons du devoir
- Indigènes
- L’enseignement pour tous?
- Le Grand Pavois
- Le TGV fête ses 25 ans
- Le festival d’orgues de Barbarie
- La France et le Liban
- Les noms de rues
- Les Français et les congés payés
- Roman Polanski
- Les Arméniens de France
- Il faut que le tableau soit en face de moi comme un être vivant
- Écoutez - Vitesse normale
- Le théâtre aujourd’hui
- De l’esclavage
- Accents de France
- Écoutez - Vitesse normale
- Le jardin de Chateaubriand
- C’est de l’amour véritable!
- Écoutez - Vitesse normale
- Mémoires de François Mitterrand
- Au salon nautique
- Au squat de Cachan
- Écoutez - Vitesse normale
- Écoutez - Vitesse normale
- Le nouveau Chablis
- Dedans, il y a tout un passé
- Écoutez - Vitesse normale
- J’ai pas envie d’arrêter la cam
- Une arrivée du Tour de France
- À la chasse en Martinique
- Vivre dans un monde violent
- Les Feux de l’amour
- La France dit «non»
- Écoutez - Vitesse normale
- Je vais construire ma propre maison!
- Tout ce qu’il faut savoir sur les escargots
- Ils habillent le Pape
- Infirmières, le savoir de la nuit
- Le retour aux racines
- L’envie de faire de la belle musique
- Fasciné par la fascination pour François Mitterrand
- Les diamants noirs
- L’université populaire
- Trouvez votre niche!
- Écoutez - Vitesse normale
- Le Sacre de Napoléon
- On n’a pas de pétrole, mais on a des idées
- Un entretien avec Claire Brétécher
- Très sweety
- Écoutez - Vitesse normale
- Écrivains de la mer
- Les foulées du Gois
- Du vrai bon pain
- Écoutez - Vitesse normale
- Écoutez - Vitesse normale
- Marie-Antoinette: le pouvoir halluciné d’une femme
- Les droits des homosexuels
- Des bouteilles extraordinaires
- Étienne Boissy – meilleur ouvrier de France (fromager)
- Massaro – une dynastie de bottiers
- Une écrivaine et son double – A.S. Byatt et Jean-Louis Chevalier
- La lutte contre les OGM est relancée
- La défense des langues régionales
- Études cézaniennes
- Ni putes ni soumises
- Simenon à la Pléiade
- Aux courses de chevaux!
- Le français des régions
- La sculpture de Paul Gauguin
- Des navires romains découverts à Lyon
- Les chansons de marins
- Les marais salants
- Handica’
- La migration des oiseaux
- Nicolas Le Bec, nouvelle étoile de la cuisine française
- L’âme du slam
- Écoutez - Vitesse normale
- Maigret chez les sociologues
- Chapeau!
- Voici des ailes!
- Écoutez - Vitesse normale
- Écoutez - Vitesse normale
- Pierre Loti
- René-Antoine Ferchaud de Réaumur (1683-1757)
- Écoutez - Vitesse normale
- L’arrivée de la presse gratuite
- La vente aux enchères
- Cet amour-là: un entretien avec Jeanne Moreau
- Écoutez - Vitesse normale
- L’homme contre l’ordinateur
- Écoutez - Vitesse normale
- Écoutez - Vitesse normale
- Un musée pour la paix
- Une nouvelle politique culturelle pour les villes
- Les Casseurs de Pub
- Le chocolat